Qualifié d’anti-conformiste il y a vingt ans quand il renonce aux désherbants et aux cuves inox, de sage ensuite, lorsque survient la reconnaissance, Yannick Amirault est un phénomène à l’écart des modes. Il a fait siens les mots de Jacques Puisais : « un vin juste doit avoir la gueule de l'endroit et de l'année où il est né, et les tripes du bonhomme qui l'a fait. »