Si l’on doutait encore du potentiel qualitatif du Carignan, qu’on déguste celui de Pierre Vaïsse !
Point d’opulence ni de rudesse ici, mais du fruit et de l’élégance ; les sols de galets roulés et les rendements archi-limités y sont pour beaucoup, autant que le savoir-faire du maître de chais.
À ouvrir en présence d’une côte de veau, ou d’une ratatouille à la Provencale.